Archives du blog

Cette suerte a pour origine une improvisation du torero de la Edad de Plata, Marcial Lalanda (1903-1990), au cours d’une tienta au Mexique, exactement à l’élevage de La Punta des frères Madrazo d’Aguascalientes, en 1922. Au cours de la dernière … Continuer la lecture →

Voir Mariposa

 C’est une des passes de cape les plus anciennes décrite dans la Tauromaquia o Arte de Torear de «Pepe Hillo»  publiée en 1804 (L. XVII). Elle doit son origine au toreo ancien pratiqué par les navarrais et introduite dans le … Continuer la lecture →

Voir saltillera.

Ce lance importé du Mexique en Espagne dans les années 20 du siècle dernier, il est une création du torero valencien Vicente Barrera Cambra (1908-1956). Voir saltillera.

C’est une sorte de gaonera qui est exécutée avec la moitié de surface de la cape, présentée à l’envers, côté jaune. Pour la forme que prend la cape cette passe est connue sous le nom quite ou pase de la … Continuer la lecture →

Quite dont le nom vient de celui de la ville de Morelia (Mexique – Etat de Michoacán), ville natale du torero Mauricio Portillo (1966 – ) qui l’avait introduit à son répertoire. Voir: Quite de la media luna

C’était une suerte perdue et ressuscitée de nos jours dans une version personnelle de « Morante de la Puebla » qui l’exécutait le 24 juin 2018 dans les arènes de León. A l’origine, Francisco Montes «Paquiro»  la décrivait dans sa Tauromaquia completa … Continuer la lecture →

C’est un pase afarolado qui s’exécute à deux mains en faisant passer la cape au-dessus de la tête pour la garder dans le dos en prélude à des gaoneras ou autres lances où la cape est dans le dos du … Continuer la lecture →

C’est une naturelle avec la cape. C’est un lance peu utilisé pour sa difficulté et l’obligation d’avoir un toro de charge franche et « humiliée » durant le premier tercio. C’est l’expression du toreo natual avec la cape. La cape est tenue … Continuer la lecture →